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interféromètre

Qu’est-ce qu’un interféromètre ?

Un interféromètre est un appareil qui mesure les phénomènes d’interférence qui se produisent lorsque la lumière est projetée sur un objet.

Les phénomènes d’interférence varient en fonction du matériau de l’objet, de l’état de sa surface et d’autres facteurs. Sur la base des différences dans les phénomènes d’interférence, la forme de la surface de chaque objet, l’indice de réfraction et la taille de l’objet peuvent être mesurés.

La taille que l’on peut mesurer avec un interféromètre est de quelques centimètres à quelques dizaines de centimètres au maximum. Si l’échantillon à mesurer est grand, il doit être coupé en morceaux.

Il existe différents types d’interféromètres comprenant les interféromètres de Michelson, les interféromètres de Mach-Zehnder et les interféromètres de Fizeau. Parmi ces derniers, l’interféromètre de Fizeau est le plus représentatif.

Utilisations des interféromètres

Les interféromètres permettent de mesurer plusieurs éléments, mais sont le plus souvent utilisés pour mesurer l’indice de réfraction.

Plus précisément, ils sont utilisés pour évaluer les performances des films antireflets pour le verre et les films de base.

Lorsque la lumière frappe le verre ou les films de base, des réflexions se produisent. Lorsque c’est le cas, la qualité de la transmission se détériore en raison de la génération de bruit et de la perte des signaux transmis. Il est donc nécessaire de supprimer ces réflexions.

La lumière réfléchie par un film antireflet est conçue de manière à être en phase opposée à la lumière réfléchie sur la surface du film de base. La lumière avec des phases différentes provoque des phénomènes d’interférence et s’annule. Cette annulation permet à toute la lumière de passer.

Outre la lumière visible, des filtres antireflets sont également fabriqués pour la lumière ultraviolette et infrarouge.

Principe des interféromètres

Les interféromètres utilisent le phénomène d’interférence pour effectuer des mesures.

La lumière a les propriétés d’une onde. En raison de sa nature ondulatoire, elle oscille périodiquement. Lorsque différentes ondes se chevauchent, l’état d’oscillation change et une nouvelle onde est générée. Cette dernière, générée par superposition est appelée “interférence”. Selon le type d’onde qui se superpose, non seulement elle prend une nouvelle forme, mais l’onde elle-même peut également disparaître.

Les ondes sont périodiques et sont donc généralement représentées par des fonctions sin et cos.

Outre ses propriétés ondulatoires, la lumière possède également des propriétés particulaires. L’intensité de la lumière varie en fonction du nombre de particules. Si le nombre de particules est élevé, la lumière devient plus forte. À l’inverse, si le nombre de particules est faible, la lumière devient plus faible. La forme de l’onde change en fonction de l’intensité de la lumière. Si la lumière est faible, l’onde devient donc plus large.

Si la surface est rugueuse, la lumière pénètre de biais, de sorte que la lumière qui frappe la surface est plus faible que lorsque la lumière pénètre directement. Cela permet de déterminer l’état de la surface.

Les franges d’interférence obtenues sont utilisées pour l’analyse numérique. L’une des méthodes typiques est la transformée de Fourier.

En effectuant cette transformée de Fourrier, le spectre de fréquence est extrait des franges d’interférence. Elle extrait donc et fournit les informations de phase du matériau mesuré.

Télescopes utilisant des interféromètres

Les interféromètres radio sont connus comme un type t de radiotélescope.

Il s’agit d’un dispositif d’observation dans lequel plusieurs radiotélescopes sont placés à une certaine distance les uns des autres. Les ondes radio reçues sont interférées afin d’obtenir une résolution effectivement élevée. Il se caractérise par une résolution équivalente à celle d’un radiotélescope géant, ce qui n’est pas possible avec un seul radiotélescope.

Dans un interféromètre, les ondes électromagnétiques d’une fréquence (longueur d’onde) spécifique obtenues à partir d’une paire de télescopes sont soumises à des interférences. Elles y sont soumises afin de déduire les conditions dans lesquelles elles sont le plus susceptibles de se renforcer mutuellement.

Lorsque les signaux des deux télescopes sont ajustés aux conditions les plus intenses, la différence de chemin optique entre les deux télescopes à ce moment-là est mesurée avec précision. Le principe est que la différence de chemin optique mesurée peut ensuite être utilisée pour déduire la position exacte de l’objet céleste.

L’un des principaux radiotélescopes utilisant ce principe est le télescope ALMA.

Le télescope ALMA a été construit dans le désert d’Atacama, dans la République du Chili, en Amérique du Sud.

Le télescope ALMA se compose d’un grand nombre de petits télescopes disposés dans une vaste zone. Ils sont reliés entre eux pour former un télescope géant, avec 54 antennes paraboliques d’un diamètre de 12 mètres et 12 d’un diamètre de 7 mètres. Cela représente un total de 66 télescopes combinés pour former un radiotélescope géant. Le télescope est composé de 66 unités.

Utilisations interférométriques

L’une des utilisations signalées de l’interférométrie est la mesure des ondes gravitationnelles à l’aide de l’interférométrie laser.

Dans cette mesure des ondes gravitationnelles, un résonateur Fabry-Perot est créé avec deux miroirs, dans lesquels la lumière d’un laser est incidente.

Les ondes réfléchies dans deux directions différentes, renvoyées par les miroirs du résonateur, interfèrent l’une avec l’autre, renforçant ou affaiblissant la lumière.

Si les crêtes et les creux des deux ondes réfléchies sont ajustés de manière à ce qu’ils se chevauchent, ils s’affaiblissent et s’annulent.

Dans cette situation, l’une des deux directions de l’espace s’étendant dans une direction perpendiculaire à l’arrivée de l’onde gravitationnelle est étendue et l’autre est contractée.

La distance parcourue par les faisceaux laser dans les deux directions change légèrement. Cela entraîne un léger décalage dans la façon dont les pics et les creux se chevauchent lorsqu’ils interfèrent.

Le signal lumineux d’interférence détecté à ce moment-là peut être observé et le signal de l’onde gravitationnelle peut être détecté.

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